En réaction à cette annonce, un vaste mouvement de citoyens se met en branle et conduit à la rédaction du document Plaidoyer pour des rivières libres. Ce texte souligne le fait que les chutes et les rapides constituent un patrimoine collectif unique à l’échelle mondiale et que les centrales de moins de 50 MW causent des dommages importants à l’environnement et ne produisent des gains énergétiques négligeables.