Historique du Grand Splash

Le Grand Splash au fil du temps

1994 – Le concept du Grand Splash naît dans la ville de Québec. En se jetant à l’eau, la Société des Gens de Baignade revendique un site de baignade public au Bassin Louise.

2003 – L’initiative inspire la création d’un Grand Splash à Montréal. Cette mouture réunit quelques participantes et participants au Vieux-Port pour réclamer un accès y permettant la baignade. C’est le comité citoyen Montréal Baignade qui mène l’initiative, soutenue par l’organisme Jour de la Terre.

2018 – La Fondation Rivières se joint à l’aventure pour l’organisation du Grand Splash. Elle devient l’organisatrice principale l’année suivante.

2020 – La pandémie pousse les organisateurs du Grand Splash à repenser la formule, afin de maintenir le cap des revendications de l’événement, malgré les mesures sanitaires en place. Cette édition virtuelle permet de mettre en lumière de potentiels sites pour la baignade partout au Québec.

2021 – Le Grand Splash attire plus de 300 participants et participantes dans 10 municipalités partout au Québec : Montréal, Québec, Lachine, Trois-Rivières, Saguenay, Gracefield, Sainte-Martine, Saint-Paul-de-l’Ile-aux-Noix, Saint-Jérôme et Mont-Saint-Hilaire, en plus de deux mini-splash, événements spontanés organisés à Chambly et au parc de la Promenade Bellerive dans l’arrondissement Tétreauville à Montréal.

2022 – Clay and Friends étaient à la présidence d’honneur alors que près d’une centaine de personnes ont sauté à l’eau au quai Jacques-Cartier du Vieux-Port de Montréal. La population était aussi invitée à se lancer à l’eau à Trois-Rivières, Saint-Lambert, Sainte-Anne-de-Sorel, Sainte-Martine et Saint-Denis-sur-Richelieu.

2023 – Une centaine de personnes ont sauté dans l’eau du Fleuve Saint-Laurent au Bassin Jacques-Cartier. Les adeptes des sports nautiques non motorisés (canot, kayak, SUP, etc.) se sont joint à l’aventure pour la première fois. La population des villes de Chambly, Sorel, et Sainte-Martine ont aussi participé à ce Grand Splash pour réclammer des accès à l’eau.