Une étude de dépistage permet de solutionner un problème qui persistait depuis près de 20 ans au Lac Raymond
Montréal, 21 août 2024 – La Fondation Rivières a mené une étude sur la qualité de l’eau au Lac Raymond en 2023 avec l’appui de
Montréal, 21 août 2024 – La Fondation Rivières a mené une étude sur la qualité de l’eau au Lac Raymond en 2023 avec l’appui de
COMMUNIQUÉ DE PRESSEPOUR DIFFUSION IMMÉDIATE Batiscan, le 16 août 2024 – La première édition du Grand Splash de Batiscan, organisé par la Fondation Rivières et
Cent personnes ont sauté dans le fleuve au Vieux-Port de Montréal pour le traditionnel Grand Splash, une initiative de la Fondation Rivières dans le but de réclamer un bain portuaire au bassin Jacques-Cartier et l’aménagement de nouveaux accès à la baignade autour de l’île de Montréal.
Le 3 juillet 2024, le gouvernement fédéral a donné son aval au projet d’expansion des parcs à résidus miniers et des haldes à stériles de la mine de fer du Lac Bloom en ajoutant les lacs et rivières entourant le projet à sa liste d’exceptions à l’interdiction de détruire des habitats du poisson. Ce sont donc 37 plans d’eau entourant le site minier, représentant 156 hectares d’habitat du poisson et bien davantage de milieux naturels en tous genres, qui seront détruits à perpétuité. Le gouvernement fédéral emboîte ainsi le pas au gouvernement provincial, à l’encontre de l’avis du BAPE, des scientifiques et de l’opinion publique, et crée un dangereux précédent.
En ce Mois de l’eau, la Fondation Rivières et la Ville de Chambly rendent publics les résultats d’une 2e étude qui révèle que la qualité de l’eau dans le bassin de Chambly a un très bon potentiel de baignade par temps sec. Les résultats de ce portrait de la qualité microbiologique de l’eau dans le bassin ouvrent la voie à de nouveaux usages de la rivière, dans le respect de l’environnement.
Dans son projet de loi sur l’énergie et sa politique énergétique, le gouvernement prévoit hausser de 50 à 100 mégawatts le seuil qui permettra au secteur privé de construire et d’exploiter des installations de production d’électricité. C’est très inquiétant, puisque cela ouvre la porte à la construction débridée de «petites» centrales hydroélectriques sur tout le territoire, déjà que le seuil actuel de 50 MW correspond à un barrage aussi gros que celui en place sur la rivière des Prairies au nord de Montréal et opéré par Hydro-Québec.
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