La Fondation Rivières s’inquiète de la centralisation des décisions sur l’avenir énergétique aux mains du ministre de l’Énergie, de l’ouverture à l’autoproduction industrielle et à la production privée d’électricité, ainsi que de la hausse à 100 MW du seuil de puissance de nouveaux projets de centrales hydroélectriques privées. Sous prétexte d’accélérer la production d’énergie, le projet de loi 69 ouvre la porte à une privatisation de la production sans contrôle adéquat, menaçant l’environnement, l’économie et la paix sociale, particulièrement en région.